lundi 9 mars 2009

Pourquoi se plaindre ?


Un extrait d’un article de michaelle du 9 mars, 2009 publier sur son blog que je lis régulièrement et attentivement


Lorsque vous êtes en train de vous plaindre de quelque chose, ça ne fait rien avancer. Vous exprimez un mécontentement, vous râlez, vous vous sentez parfois mieux après mais dans le fond les remarques négatives sont souvent mises de côté. Nous avons tous à gérer une certaine dose de négativité et celles dont il est facile de s’affranchir sont éclipsées.

Chaque jour il est facile de se laisser aller à se plaindre : “je n’ai eu que 2% d’augmentation, je pense que je mérite plus”, “c’est toujours sur moi que ça tombe”, “ma femme m’empêche de vivre ma passion”, “le métro est encore bondé ce matin…”

Les raisons ne manquent pas.
Je vois un lien assez clair entre le fait de se plaindre au quotidien et le fait de prendre ses responsabilités. Assumer une décision ou se sentir responsable pour qu’un résultat se produise ne va pas de paire avec le fait de se plaindre.

Je me souviens au début de ma carrière dans l’informatique que je me plaignais de n’être pas assez payé. Je voyais autour de moi des exemples de personnes mieux payées mais je ne comprenais pas vraiment la raison. S’ils n’étaient pas plus compétents, ils prenaient à leur charge la responsabilité d’un domaine ou d’une fonction et cela suffisait pour faire la différence.

Le monde et les entreprises sont à la recherche active de gens engagés et prêts à prendre leurs responsabilités. Je ne parle pas de travailler 70 heures par semaine mais simplement de prendre un domaine et d’assumer le fait que tout ira bien.

Alors, au lieu de me plaindre, j’ai commencé à avancer et à proposer des solutions. J’ai commencé à faire des choses que je pensais être bien sans demander la permission mais éventuellement en demandant pardon après. L’erreur n’était pas un problème puisque j’étais responsable de ce que je faisais et que ma motivation était sincère.

Et j’ai obtenu des résultats en passant de simple développeur informatique à business analyst en 2 ans. Je suis passé d’un poste où on me disait quoi faire, comment le faire sans me dire pourquoi le faire à un poste où j’ai par exemple réalisé 3 mois de coaching d’un client en lui expliquant pourquoi faire et comment faire le projet qu’il souhaité.

L’avenir sourit à ceux qui assument.

Je partage totalement tes idées Michaelle, L’avenir sourit à ceux qui assument. C****lles molles s’abstenir.
Le mail du blog : blog.sat.bod@live.fr

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